Les “sponsorettes” : Elles deviennent les esclaves sexuelles de princes arabes pour plaire à leurs followers sur Instagram

Vous admirez toutes ces filles qui ont des vies de rêve sur Instagram. Elles voyagent à Dubaï ou dans un pays du Moyen-Orient, prennent des photos en maillot au bord d’une piscine gigantesque, font des balades en chameaux et se prennent en photos à bord de jets privés. Si vous découvrez celui qui tient l’appareil photo, vous comprendrez mieux comment tout cela est possible. Derrière les profils Instagram de ces filles sublimes, de ces fitness girls, de ces apprenties mannequins, de ces stars de la téléréalité, se cache une réalité bien plus triste. Bienvenue dans le milieu des sponsorettes, ces filles qui se font sponsoriser leurs voyages de luxe, et qui en l’espace d’un weekend, gagnent entre 15 000 et 30 000 euros. Bienvenue dans un monde dont on ne ressort pas indemne. Un monde où l’humiliation de la femme occidentale atteint son paroxysme pour celle qui accepte de devenir une « Dubai Porta Potty ».

Une Dubai Porta Potty en compagnie de ses deux sponsors (photo : Britmannia)
Pour quelques photos de vacances de rêve, elles acceptent l’humiliation et des expériences sexuelles extrêmes

Pour des dizaines de milliers de dollars et des cadeaux, elles acceptent de devenir des objets sexuels

Derrière les hashtags #dubai #holiday #money #luxury se cache une triste réalité. Tout commence lorsque ces belles et jeunes femmes sexy se font ajouter sur les réseaux sociaux par des hommes en provenance de Dubaï. Très vite, ils les invitent chez eux. Elles sont souvent des escorts européennes, des strip-teaseuses ou des étudiantes peu farouches qui sont suivies par quelques milliers de followers sur les réseaux sociaux. Mais en principe, elles ne doivent pas avoir un passé trop sulfureux. Car leurs riches clients les préfèrent pures et pas trop salies. Ils s’intéressent aussi à certaines starlettes locales ou à des candidates de téléréalité. C’est d’ailleurs Jeremstar qui a récemment abordé le sujet en France, en dévoilant le témoignage d’une ancienne candidate de téléréalité qui dénonce la prostitution à laquelle un certain nombre d’entre elles finissent par se livrer. Parce que ces hommes, qu’est-ce qu’ils aiment ? Repérer une belle fille à la télé ou sur les réseaux sociaux, montrer le pouvoir qu’ils ont grâce à leur argent, puis posséder ces femmes, les utiliser, les souiller et les jeter. Mais attention, tout ça reste « haram », comme ils le précisent par message. Ils organisent donc ces partouzes dans des somptueuses villas, qu’ils louent seuls ou à plusieurs, avec des autres hommes de la famille, des collègues ou des clients, et ils abusent de femmes, qu’ils considèrent comme des pauvres occidentales prêtes à tout pour de l’argent. Et quand ils les préviennent qu’elles doivent être prêtes à tout, ce n’est pas une façon de parler. Si elles sont payées 40 000 euros la semaine, c’est parce qu’elles vont devoir accepter tous leurs fantasmes : urophilie, coprochagie, pédophilie ou zoophilie.

Ces riches princes arabes exaucent tous leurs fantasmes extrêmes

Quand un de ces riches Saoudiens ou Émiratis les abordent pour la première fois sur les réseaux sociaux, ils n’y vont pas par quatre chemins. Ils leur expliquent qu’ils veulent coucher avec elles, les faire venir en jet et leur payer de magnifiques vacances dans le luxe des Émirats. Très vite, la conversation tourne autour du prix, le tout ponctué par quelques phrases de séduction ou de rentre dedans. De temps en temps, ils proposent un acompte, suite à quoi elles envoient quelques photos de nus ou des vidéos où elles se déshabillent. Puis, après quelques jours de négociations, le ton devient de plus en plus dominateur et les exigences de plus en plus précises et osées. Ce que ces hommes demandent le plus fréquemment, c’est de pouvoir leur déféquer dessus ou dans la bouche. Elles renégocient le prix, mais finissent souvent par dire oui, quand elles considèrent avoir touché le jackpot. En échange ? Elles gagnent tout simplement beaucoup d’argent, mais en plus, elles ont droit à du temps libre à Dubaï. Elles peuvent donc prendre plein de magnifiques photos luxueuses qu’elles pourront poster sur leurs réseaux sociaux et faire rêver leurs followers. En plus, elles recevront de magnifiques cadeaux comme des sacs, des chaussures ou des montres. Tout ça est garanti 100% anonyme puisque ces hommes ne peuvent pas mettre leur propre réputation en jeu. Elles ne peuvent qu’accepter ce genre de propositions car elles voient cela comme un sale moment à passer, alors qu’elles pensent avoir tant à gagner. Ces starlettes sont très suivies sur Instagram et Twitter. Elles font rêver des adolescentes et reflètent une image de vie de rêve. Leurs fans aiment les voir acheter des sacs Louis Vuitton et rêvent eux aussi de pouvoir se baigner dans une piscine sous les cocotiers. Alors, grâce à ces voyages sponsorisés, elles auront de quoi satisfaire leur public, en les gavant de somptueuses photos, sans jamais dévoiler l’envers du décors.

Elles pensent qu’elles pourront revivre normalement par après, elles se trompent

Les profils de ces sugar daddies n’est pas toujours celui auquel on pense. Ce ne sont pas tous des vieux vicelards millionnaires. Il y a aussi de nombreux jeunes hommes d’affaires, des princes saoudiens qui s’ennuient dans leurs vastes demeures ou des magnats du pétrole qui ne peuvent rien faire avec leur femme, car leur religion l’interdit. Ce sont des hommes frustrés qui doivent suivre les règles religieuses et strictes de la charia qui font loi dans le pays. Mais de nombreux témoignages font peu à peu leur apparition sur Internet. Le site « Tag The Sponsor » répertorie d’ailleurs les histoires de ces filles, en faisant de nombreuses captures d’écran de leurs conversations avec ces milliardaires arabes. Le plus fou est le type de fantasmes que ces hommes peuvent avoir. Ils sont tous dans l’extrême. Une fille traumatisée par son expérience sexuelle sur place raconte : « Ces gars sont si riches, ils détestent leurs femmes et s’ennuient dans la vie qu’ils sont prêts à payer une fortune pour réaliser leurs fétiches sexuels et j’ai été assez folle que pour vouloir de cet argent. J’ai été prise dans un gangbang et un bukkake par 20 magnats saoudiens pour 40 000 dollars pour deux jours. On m’a pissé dessus, on m’a fait caca dessus plusieurs fois et je ne comprends pas pourquoi ils aiment ça. Après la troisième fois où l’on vous défèque dessus, on s’y fait. J’ai même dû faire l’amour à un berger allemand devant eux. J’ai dû entrer pleins de choses dans mon c*l, notamment un poisson. On m’a payée pour manger de la merde, j’ai été battue, j’ai mis un saumon dans le c*l d’un mec de 65 ans. J’ai dû faire l’amour à un garçon de 14 ans pour qu’il devienne un homme. J’ai 24 ans, j’ai un million de dollars sur mon compte en banque. Je peux prendre ma retraite et faire l’amour normalement comme je veux ». Mais si elle croit qu’elle pourra revivre normalement, elle se trompe. Personne ne ressort indemne d’une telle expérience.

Des stars de téléréalité connues en France font partie de ce réseau

Ces propos font écho à ceux qu’on a pu entendre dans le témoignage de la candidate de téléréalité, interviewée par Jeremstar, dans Les terriens du dimanche, sur C8. Elle aussi parle de scatologie et de partouzes dégradantes. Il y a même un nom qui a été inventé pour ces sponsorettes qui partent à Dubaï, les « Dubai Porta Potties ». Si le nom sonne bien en anglais, la traduction laisse peu de place à l’imagination, il s’agit ni plus ni moins de « pots de chambre de Dubaï ». Le site « Tag Your Sponsor », a publié la conversation d’une Française qui habite dans les Alpes et qui a accepté l’invitation du riche prince arabe. Ces captures d’écran envoyées au site, sont celle du prince arabe qui a voulu prouver sa vénalité. Il a même ajouté qu’il avait tout de suite compris qu’elle accepterait, car c’était elle qui « likait » toutes ses photos avec des grosses voitures et des objets de luxe. Comme le prouve le début de la conversation ci-dessous, c’est elle qui le remercie de répondre.

 

Ils font connaissance, elle lui dit qu’elle a 23 ans et lui 27. Elle est étonnée qu’il ne soit pas plus vieux. Elle lui demande pourquoi il l’inviterait chez lui. Il lui répond “pour b***er”
Elle le trouve très cash et précise ne pas être escort ni prostituée. Pourquoi ne prend-il pas une fille de Dubai ? Pour parler plus simplement, ils échangent leur numéro WhatsApp et quittent Instagram
Ils reprennent connaissance sur WhatsApp. Ils parlent du ramadan et échangent quant à une possibilité de se rencontrer
Ils font tous deux ramadan et ne peuvent pas être excités. Ils envisagent de se cacher pour faire l’amour. Il lui demande des photos de ses pieds et elle l’excite en lui demandant ses fantasmes
Ils programment son arrivée à Dubai. Il lui paie tout pendant 5 jours mais ne pourra la voir que durant 2 nuits. Elle peut même choisir son hôtel, il lui conseille le Burj.
Il lui demande s’ils peuvent s’uriner dessus, l’un sur l’autre. Puis, il lui promet de lui présenter son chameau et son bébé tigre.
Il voudrait lui pisser de dessus, éjaculer sur son front et la sodomiser. Il lui promet 1000 euros par jour et 15 000 de plus si elle accepte ses fantasmes. Il voudrait qu’elle masturbe son chameau. Elle dit qu’elle ne veut pas toucher les animaux. Il insiste et dit que ça sera 15 000 euros pour ses fantasmes ainsi que 10 000 supplémentaire pour masturber le chameau. Elle négocie aussi des cadeaux : sacs, lunettes, robes…
Ils arrangent sa venue et elle lui envoie son passeport pour qu’il puisse réserver un ticket d’avion en première classe
Il lui demande d’envoyer une vidéo d’elle où elle pète. Elle refuse et ne trouve pas ça sexy. Il promet de réserver son vol.
Elle demande confirmation du prix : 15 000 euros plus 1000 euros par jour. Il va lui réserver un avion qui part depuis Genève.
Elle veut savoir s’il a souvent des relations sexuelles et s’il boit. Il répond que ça arrive. Il prend aussi de la cocaïne et fume du hachich. Elle préfère les drogues naturelles et n’en prend pas souvent. Il trouve qu’elle pose beaucoup de questions et espère qu’elle ne serait pas ennuyante. Elle répond qu’elle est une fille très drôle.
Elle lui envoie des photos pour l’exciter et lui demande combien de fois ils coucheront ensemble. Il répond “100 millions de fois, je vais te b***er comme un cheval”. “Je suis très souple et je sais tout faire”, répond-elle.
Elle veut l’exciter alors qu’il travaille. Puis il lui dit qu’il souhaiterait lui faire caca sur la tête. “Je veux te faire un chapeau de merde”, ajoute-t-il.
Quelques jours plus tard, le profil Instagram de la Française est plein de magnifiques photos de Dubai

Ou encore l’histoire plus étonnante d’Andrea Willy Rapagna, un modèle fitness qui a accepté de devenir le jouet sexuel d’un prince arabe qui se découvre des tendances homosexuelles quand il boit de la téquila. Après plusieurs jours de conversation, Andrea propose même de venir avec sa petite amie, à condition que le prince augmente son offre. Les multitudes d’histoires s’accumulent et se ressemblent toutes.