Le 2 mai 2011, une équipe de commando des SEAL s’est introduite dans la propriété sous très haute surveillance du leader d’Al-Qaida, Oussama ben Laden. Celui qui a revendiqué les attentats du 11-Septembre à New-York, a été tué lors de l’assaut dans sa propriété d’Abbottabad, au Pakistan. Selon les autorités américaines, de nombreux documents ont été saisis et des disques durs qui contenaient toutes sortes d’informations ont été mis sous scellé, avant d’être analysés. Une grande partie de ces documents ont été rendus public le 1e novembre 2017. Parmi ceux-ci, il y a le journal intime du chef d’Al-Qaïda et des vidéos privées de sa vie recluse dans sa villa, en compagnie de ses enfants et ses animaux. Bien vite, on a appris que le terroriste saoudien était un grand amateur de porno. Oussama ben Laden gardait une impressionnante collection de films et images pornographiques sur les disques durs de ses ordinateurs. Six ans plus tard, la CIA annonce qu’elle va rendre publique une grande partie des documents saisis ce jour-là. Malheureusement, il semblerait que l’agence de renseignements américains ne veuille pas partager ses trouvailles pornographiques.
Quels étaient les fantasmes sexuels d’Oussama ben Laden ?
Quels étaient donc les documents pornographiques du terroriste Oussama ben Laden ? Qu’aimait-il ? Quel était son type de fantasme sexuel ? On ne saura probablement jamais ce que contenait toute sa collection de vidéos pornographiques. Le directeur de la CIA, Mike Pompeo a annoncé qu’ils dévoileront des milliers de documents, jusqu’alors confidentiels, mais le matériel pornographique n’en fera pas partie : « Une fois que nous sommes sûrs qu’il n’y a plus rien de confidentiel, il n’y a rien que nous ne puissions pas publier. Je veux être certain que tout le monde puisse y avoir accès ». Par contre, les vidéos milliers de vidéos porno trouvées n’auront pas le même sort. Selon le directeur de la CIA la raison pour laquelle ils ne peuvent dévoiler les films pornos, c’est tout simplement car il y a des droits d’auteur dessus. C’est comme si on rendait des films publics et accessibles à tous.