Aujourd’hui sort le fameux calendrier des Dieux du stade. Si à l’origine le calendrier mettait en scène des joueurs de rugby nus, il a fini par accueillir d’autres sportifs nus qui n’hésitent pas à montrer leurs muscles saillants. Mais cette année, avec ce calendrier 2019, le Stade Français Paris a souhaité revenir aux fondamentaux, en ne choisissant que des joueurs de rugby français et internationaux. Depuis les Dieux du stade 2018 les photos sont en couleurs, abandonnant le célèbre noir et blanc qui avait fait la particularité de ces photos de sportifs. En 2019, c’est toujours le cas, mais dans des tons un peu passés. C’est le photographe Ludovic Baron qui a été chargé de sublimer ces sportifs.
Les photos des Dieux du stade 2019
Cette année, les Dieux du stade, plus proches du thème que jamais, incarnent des dieux grecs. Djibril Carama devient Priape (dieu greco-romain au pénis géant), Thomas Combezou en Dionysos (dieu du vin, de la fête et des orgies), Jean-Pascal Barraque en Morphée (dieu préféré du lit) mais aussi en Hadès (dieu des Enfers), Xavier Mignot en Héraclès (dieu de l’aventure), Clément Daguin devient Eros (dieu de l’amour). C’est d’ailleurs Clément Daguin qui figure en couverture du calendrier de cette année.
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C’est dans un studio du 14e arrondissement de Paris que Ludovic Baron a accueilli les beaux sportifs musclés pour les prendre en photos. Les autres rugbymen qui se sont prêtés au jeu sont Sofiane Guitoune, Arthur Bonneval, Kylan Hamdaoui et son coéquipier Julien Delbouis, qui jouent tous deux à Biarritz. Giovan Battista Venditti a pris le rôle du dieu des dieux, en la personne de Zeus. Il prend même deux fois la pose, devenant aussi Atlas, le titan porteur du monde.
Des sportifs nus et musclés pour la bonne cause
C’est en 2000 que Max Guazzini a inventé le calendrier des Dieux du stade pour faire connaître le rugby du grand public. Depuis, sans discontinuité le public a été présent et a acheté ce calendrier dont les fonds sont reversés à une association.
Des photos de sportifs sexy et des nus de face
Certains années ont été plus pudiques que d’autres. L’année 2018 a été marqué par l’arrivée de la couleur et l’appareil photo avait été confié à Errrikos Andreou. En 2017, c’était déjà Errikos Andreou qui était chargé de photographier les Dieux de l’Olympe. En 2016, 2015 et 2014, la tâche était confiée à Fred Goudon. De 2011 à 2013, c’est Fred Rousseau qui a photographié les rugbymen nus, comme il l’avait déjà fait en 2004.
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